S’offrir quand tout se vend.
Miss.Tic
Miss.Tic
Je reviens sur mon Post d’hier qui a dû en décoiffer plus d’un(e) :
- Comment prétendre trouver l’amour simplement comme on fait ses commissions au supermarché ?
- Pourrait-on considérer l’amour comme un produit de consommation, comme un nouveau grille pain chez Carrefour ?
- Et du coup on s’attendrait aussi à trouver l’amour sans prendre aucun risque, un peu comme si on avait une garantie dessus ? « Reprenez-là celle-là ; elle ne correspond pas au descriptif (ou pire : « Elle est au-delà de la date de péremption » !)
- Et comme il faut payer pour trouver ce partenaire labellisé « meetic », alors pourrait-on se livrer à tous les excès parce qu’on a acquitté la redevance ?
- Et nous voici à calculer le retour sur investissement quand on passe un 5 à 7 avec une gourgandine : une carte bleue pourrait-elle prendre la place de la carte du tendre ?
- Bref : comment faire de la passion qui nous ouvre sur le ciel étoilé un article à consommer après l’avoir acheté chez Auchan ?
… Miss.Tic ne s’abaisse pas à répondre à ces questions : d’un geste vif et souple elle se propulse tout en haut de l’âme humaine, là où le ciel et la terre communiquent, où les rêves s’élancent vers les mêmes aurores boréales, là où l’humain se déchaine en redevenant la bête.
Là où pour gagner il faut s’offrir !
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