La contemplation du corps de la femme doit
être une réponse rassurante à l'angoisse du monde.
Lucien
Clergue
Pour
sortir du pessimisme I
Devons-nous regretter que nos magazine
d’élégance soient remplis femmes filiformes et chlorotiques ?
Les belles femmes de Rubens que même un ouragan n’aurait pas pu déraciner ne
sont-elles pas un peu plus réconfortantes ? Avec leurs spacieux bassins
faits pour porter des tripotées de bambins, ne sont-elles pas une image de la
vitalité et de la fécondité de l’humanité ?
Sans doute, et c’est pourquoi l’auteur de
notre Citation du jour nous encourage
à contempler le corps de la femme – et cela d’autant qu’est plus intense
aujourd’hui l’angoisse du monde.
Alors qu’on nous montre constamment des pauvres petites bêtes qui dépérissent
suite au réchauffement climatique, des désertifications galopantes du fait de
la surexploitation des ressources de la planète, voir dans le corps féminin que
la vie continue de pulser, c’est oublier au moins pour un moment la dépression
écolo-climatique.
La
contemplation du corps de la femme nous rassure et fait disparaitre l’angoisse
du monde parce qu’on y voit s’épanouir la vie. Est-ce
tout ? Avons-nous bien compris ? Parce que, notez-le, cette
contemplation déclenche aussi chez nous, les messieurs, une poussée hormonale
qui ne manque pas d’exciter notre vitalité.
--> L’angoisse n’existe que chez les
personnes qui sont en manque d’hormones. C’est ainsi que contre l’angoisse, on
ne devrait pas prescrire des anxiolytiques, mais bien la contemplation de corps
féminins.
Du moins pour nous, les hommes.
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