On sort avec
les maigres, on rentre avec les grosses.
Régine
Ma femme est
tellement grosse que partout où je regarde, elle est là.
Pierre Doris
Récemment,
notre réflexion nous a entrainés dans la lointaine préhistoire, quand les
grosses avaient droit de cité, qu’elles incarnaient la fécondité ou on ne sait
quelle divinité favorable.
Aujourd’hui,
nous poursuivrons en direction d’une forme d’art plus intemporel. Comment faire
pour que les canons de beauté prennent en compte les formes des femmes rondes,
plutôt que celles des maigres ?
Mais
aujourd’hui on sait que nos mannequins sont des filles anorexiques qu’un
courant d’air entrainerait pardessus les toits ; et on donne une place dans les Musées aux Nanas
de Niki de Saint Phalle (cf. Post du 14 juillet).
Prenons l’exemple
du thème des Trois Grâces ; que préférez-vous
- La version
de Cranach ?
- Ou bien
celle de cette photographie ?
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