« Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. »
Le
Général de GAULLE – Cité par Philippe de
Gaulle «De Gaulle mon père»
Ambigu? Même pas ! De Gaulle dit
que finalement, ce qu’on prend pour du racisme, ce n’est peut-être rien que le
rejet d’une communauté qui ne fait pas tout ce qu’elle devrait pour se faire
accepter. Et réciproquement,
1)
Si elle n’est pas acceptée, c’est qu’elle n’a pas fait ce qu’elle aurait dû.
2)
Si par contre elle fait ce qu’elle doit (= donner de bons produits), alors elle
est acceptée sans problème : tout le
monde lui ouvre les bras.
o-o-o
Donc, pas de racisme – ni anti-Arabes, ni
anti-Roms, ni anti-Juifs, etc… Mais alors, c’est quoi le racisme ? Comment
le saurions-nous puisque, comme le dit De Gaulle, nous ne sommes ni ne pouvons
être racistes. Le racisme est en réalité un prétexte qui a été inventé
(toujours selon Charles De Gaulle) par des communautés qui sont rejetées et qui,
refusant de voir leurs insuffisances, ont attribué ce rejet, qu’elles ont jugé injuste,
au peuple qui les accueillait.
Le racisme serait donc un effet de la
mauvaise foi, un mensonge à soi-même comme le disait Sartre : il s’agit
d’attribuer à autrui la cause et la responsabilité du malheur qui frappe.
Bon – On rejette alors les
discriminations à l’embauche, les refus de louer un logement, etc ?
Hum… Admettons si on veut, simplement le
temps de passer à l’essentiel.
Car, voici la question : quel est
donc le « bon produit »
dont parle De gaulle ? Celui que ces communautés sont censées apporter ?
Si c’est un produit marchand, pas besoin d’immigrer : on importe tout, du
manganèse, du caviar, des Toyota, etc…
Ce qu’on ne peut importer qu’à la
condition d’importer le bonhomme, c’est la force de travail. C’est l’Italien ou
le Portugais pour construire nos maison, l’africain pour balayer nos rues, le
Maghrébin pour tout le reste.
Donc, les communautés étrangères – et
jusqu’à quand le resteront-elles ? – sont des communautés de bons
travailleurs.
Et qu’est-ce qu’un bon travailleur ?
Pour le savoir, il suffit de le demander à Tamim ben Hamad Al Thani émir du Qatar.
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